Peut-être davantage qu’aucune autre civilisation, l’Égypte pharaonique a intégré le monde animal à sa vie religieuse. Non seulement de nombreuses espèces sont consacrées à différentes divinités, mais ces dernières leur empruntent couramment des attributs et un surcroît de puissance. Une observation fine du comportement des animaux domestiques ou sauvages est souvent à l’origine de ces associations. Ce phénomène, qui a pris durant la seconde moitié du premier millénaire avant notre ère des proportions spectaculaires, intriguait beaucoup les visiteurs étrangers et a laissé d’importants vestiges archéologiques.
Séance 1 : Les animaux solaires.
Séance 2 : Les taureaux sacrés.
Séance 3 : Les déesses-mères.
Séance 4 : Les momies d’animaux.[/vc_column_text][vc_separator type= »transparent » down= »20″][vc_column_text el_class= »color-main »]
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